L'auberge
L’ambiance à l’auberge est chaleureuse et décontractée.
Les pieds dans l’eau du Saint-Laurent, notre auberge vit aux sons des vagues, à l’abri des bruits de la route 132, dans un des plus beaux villages du Québec, Métis-sur-Mer.
Ancien bouquiniste à Quimper en Bretagne et Ancienne Agronome de formation, Marie et Raynald se sont installés à Métis-sur-Mer, il y a de cela déjà 25 ans, afin de partager leur goût pour les petits et grands plaisirs de la table et les grandes joies de la lecture. Leur 3 enfants Théo, Manuel et Marguerite ont travaillé avec eux toutes ces années.
C’est maintenant la fille de la famille, Marguerite, qui est en reprise de l’entreprise. Cette jeune femme passionnée et son équipe dynamique se font une joie et une mission de vous accueillir pour un séjour où le temps se suspend et où la beauté et la chaleur humaine nourrie doucement les cœurs.
Des livres. Des livres partout, partout dans les chambres, partout au salon et même dans la cuisine. Les livres sont là pour être lus, pour circuler entre le plus de mains possible.
Au plaisir
de vous recevoir dans notre bouquin couette.
Notre auberge est conviviale et nous vous accueillerons avec simplicité et courtoisie.
Métis-sur-Mer
Métis-sur-Mer est un charmant village fondé en 1850 par des colons écossais. Il est devenu, au début des années 1900, un haut lieu de villégiature prisé par de riches familles anglophones. Chaque été, elles débarquaient nombreuses pour profiter, dans un hôtel chic ou dans un pavillon privé, de la beauté du site et de la fraîcheur de la brise gaspésienne.
Aujourd’hui, les héritiers de ces vacanciers d’antan continuent de fréquenter Métis-sur-Mer. Villas, manoirs tout en pignons et balcons, cachés derrière les arbres ou offerts au vent du large… Depuis, ces demeures font rêver des générations de promeneurs.
Des livres sur l’histoire de Métis-sur-Mer et son phare sont disponibles dans chaque chambre.
Le Fleuve Saint-Laurent
Le fleuve aux grandes eaux
L’estuaire pour les scientifiques, le grand fleuve pour les écrivains, la mer pour les gens d’ici. Quel que soit le nom qu’on lui donne, sa beauté et sa majesté restent les mêmes.
Les Micmacs l’appelaient «Magtogoek», le fleuve aux grandes eaux, le chemin qui marche. Des explorateurs européens jusqu’aux pêcheurs asiatiques, il attire sur son cours les bateaux du monde entier. Les touristes ne sont pas en reste. Déjà, au début du XXe siècle, des paquebots partis de Montréal ou Boston sillonnent l’estuaire du Saguenay.
Nous avons le bonheur d’habiter au bord de l’un des plus beaux fleuves au monde, bordé de paysages grandioses, grouillant d’une faune étonnante et riche d’une histoire fascinante.